Il y a ces immeubles, de tailles diverses, de couleurs diverses, en bois, en brique, en métal. Il y a toutes ces fenêtres qui scintillent. Des arbres nus et des buissons délimitent les passages piétons, les accès aux voitures. Il y a plusieurs voitures garées: des rouges, des bleues, des noires. La cour est enneigée. Les passants y laissent leurs traces de pas. On entend le moteur d'une voiture tousser; il ne veut pas démarrer. La fenêtre d'en face est décorée d'un autocollant, un ours, et d'un rideau orange. Les pigeons volent d'arbre en arbre, ne sachant pas où s'arrêter.
Au petit matin, les rayons du soleil traversaient le rideau pour éclairer la chambre. A travers les murs, on entendait les oiseaux siffler, les coqs chanter, les vaches meugler. En ouvrant la fenêtre, on observait de la verdure partout: des arbres fruitiers, de l'herbe, des fleurs. A droite se trouvait la montagne. Je me souviens de l'ancienne voiture blanche de papi qui n'avait plus de pneus et sur laquelle les plantes poussaient. J'observais le chien, hors de sa niche, attaché avec une laisse, la tête plongée dans sa gamelle. Le garage était plein d'outils. Un peu plus loin, on voyait un enclos où on allumait un feu pour faire cuire les aliments.
Dans la chambre, il y a 3 chaises en face desquelles se trouvent des bureaux. Sur le mur sont accrochés des calendriers, des feuilles, des photos, des horloges. Il y a un porte-manteau placé dans un coin. Il y a trois lits superposés à côté de la porte. Entre les lits et le porte-manteau se trouve une grande armoire en bois. Sur les étagères, situées au-dessus des bureaux, sont rangés des livres, des cahiers. Un miroir situé à côté de la porte reflète les rayons du soleil. Sur mon bureau, je vois l'heure passer sur le radio-réveil. Mes feuilles juste devant moi, j'écris. A côté, ma trousse est ouverte.
A travers la vitre du bus, on observe les piétons marcher à des allures différentes et de façons différentes. Les voitures paraissent petites et basses par rapport à nous. Certaines nous dépassent, d'autres non. Le bus se stoppe à chaque arrêt de bus. Les gens montent et decendent. Lorsque le bus reprend sa route, quelques personnes lui courent après, mais rien à faire, il faut attendre le prochain. Tout en roulant, on observe les différentes rues perpendiculaires à la nôtre. Les magasins s'enchaînent, se suivent: boutique prêt-à-porter, fleuriste, épicerie, boulangerie, banque. Il y a aussi des immeubles. Le bus change de direction. A droite, on observe café, garage, collège. A gauche, épicerie, restaurant, enfants jouant au foot sur le stade.
A travers cet écran, on voit ce qui se passe dans le monde: les guerres et leurs dégâts, les réunions politiques, la vie privée des stars, les novices dans la chanson, du théâtre, les nouveaux films sortis au cinéma, les expositions, le domaine de la mode, des jeux concours, les lieux touristiques, les catastrophes naturelles. Tout cela dans une seule fenêtre. On peut y accéder en appuyant sur un bouton: celui de la télévision.
Au petit matin, les rayons du soleil traversaient le rideau pour éclairer la chambre. A travers les murs, on entendait les oiseaux siffler, les coqs chanter, les vaches meugler. En ouvrant la fenêtre, on observait de la verdure partout: des arbres fruitiers, de l'herbe, des fleurs. A droite se trouvait la montagne. Je me souviens de l'ancienne voiture blanche de papi qui n'avait plus de pneus et sur laquelle les plantes poussaient. J'observais le chien, hors de sa niche, attaché avec une laisse, la tête plongée dans sa gamelle. Le garage était plein d'outils. Un peu plus loin, on voyait un enclos où on allumait un feu pour faire cuire les aliments.
Dans la chambre, il y a 3 chaises en face desquelles se trouvent des bureaux. Sur le mur sont accrochés des calendriers, des feuilles, des photos, des horloges. Il y a un porte-manteau placé dans un coin. Il y a trois lits superposés à côté de la porte. Entre les lits et le porte-manteau se trouve une grande armoire en bois. Sur les étagères, situées au-dessus des bureaux, sont rangés des livres, des cahiers. Un miroir situé à côté de la porte reflète les rayons du soleil. Sur mon bureau, je vois l'heure passer sur le radio-réveil. Mes feuilles juste devant moi, j'écris. A côté, ma trousse est ouverte.
A travers la vitre du bus, on observe les piétons marcher à des allures différentes et de façons différentes. Les voitures paraissent petites et basses par rapport à nous. Certaines nous dépassent, d'autres non. Le bus se stoppe à chaque arrêt de bus. Les gens montent et decendent. Lorsque le bus reprend sa route, quelques personnes lui courent après, mais rien à faire, il faut attendre le prochain. Tout en roulant, on observe les différentes rues perpendiculaires à la nôtre. Les magasins s'enchaînent, se suivent: boutique prêt-à-porter, fleuriste, épicerie, boulangerie, banque. Il y a aussi des immeubles. Le bus change de direction. A droite, on observe café, garage, collège. A gauche, épicerie, restaurant, enfants jouant au foot sur le stade.
A travers cet écran, on voit ce qui se passe dans le monde: les guerres et leurs dégâts, les réunions politiques, la vie privée des stars, les novices dans la chanson, du théâtre, les nouveaux films sortis au cinéma, les expositions, le domaine de la mode, des jeux concours, les lieux touristiques, les catastrophes naturelles. Tout cela dans une seule fenêtre. On peut y accéder en appuyant sur un bouton: celui de la télévision.
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