La fenêtre la plus secrète
En regardant par la fenêtre, une caserne où l'on voit des pyramides de gendarmes avec leur uniforme bleu et à moto. Mais un grand bâtiment en brique rouge vient couper cette scène. Un bâtiment avec sa cour et ses aires de jeux sans enfants, tous ces arbres, ces bancs sans personne. Par cette fenêtre, il y a deux univers. Un univers joyeux avec tout ce monde souriant et un autre triste sans personne. Cela produit un contraste.
Mémoire lointaine
C'était une vue magnifique, le soleil tapait tellement que je ne voyais ce paysage qu'à moitié. D'un côté, la lumière jaune du soleil et de l'autre c'était une place et une mer bleu turquoise qui étaient pleines de personnes en maillot de bain, il y avait toutes les couleurs de l'arc en ciel: les marchands de glace sous leur parasol attendant les clients. Cette longue queue d'enfants qui attendaient leur tour pour cette balançoire. Et il y avait ces hommes torse nu qui passaient toute leur journée assis sur ce pont en bois. Au loin, plus loin de la mer, on observait une autre île mais elle était très floue.
Etablissement scolaire, la cantine
Des tables avec tout autour, des élèves et leur plateau. Ces élèves en pleine discussion, en train de manger, en plein fou rire, debout ou parlant avec les surveillants et cet élève près de la fontaine remplissant son broc.
Paysage en mouvement
Un paysage dont tout est flou, qui reste toujours le même et dont on ne voit pas la fin. Des voitures qui passent à côté mais qu'on ne voit pas arriver. Ces arbres, ces plantes au bord de cette longue route, si flous qu'ils font si mal aux yeux et ces panneaux rouges qui ne sont pas aussi nombreux que ces arbres.
Ouverture sur le monde
Cet écran, cette fenêtre où l'on voit des paroles de chansons, des déclarations, tous ces pseudos qui changent, ces photos qui défilent pendant une heure, ces statuts qui changent d'abord: "En ligne", ensuite: "Occupée" et "Au téléphone"... Et il y a ces fenêtres qui s'ouvrent toutes seules où il y a la plupart du temps écrit: "coucou, tu vas bien?"
En regardant par la fenêtre, une caserne où l'on voit des pyramides de gendarmes avec leur uniforme bleu et à moto. Mais un grand bâtiment en brique rouge vient couper cette scène. Un bâtiment avec sa cour et ses aires de jeux sans enfants, tous ces arbres, ces bancs sans personne. Par cette fenêtre, il y a deux univers. Un univers joyeux avec tout ce monde souriant et un autre triste sans personne. Cela produit un contraste.
Mémoire lointaine
C'était une vue magnifique, le soleil tapait tellement que je ne voyais ce paysage qu'à moitié. D'un côté, la lumière jaune du soleil et de l'autre c'était une place et une mer bleu turquoise qui étaient pleines de personnes en maillot de bain, il y avait toutes les couleurs de l'arc en ciel: les marchands de glace sous leur parasol attendant les clients. Cette longue queue d'enfants qui attendaient leur tour pour cette balançoire. Et il y avait ces hommes torse nu qui passaient toute leur journée assis sur ce pont en bois. Au loin, plus loin de la mer, on observait une autre île mais elle était très floue.
Etablissement scolaire, la cantine
Des tables avec tout autour, des élèves et leur plateau. Ces élèves en pleine discussion, en train de manger, en plein fou rire, debout ou parlant avec les surveillants et cet élève près de la fontaine remplissant son broc.
Paysage en mouvement
Un paysage dont tout est flou, qui reste toujours le même et dont on ne voit pas la fin. Des voitures qui passent à côté mais qu'on ne voit pas arriver. Ces arbres, ces plantes au bord de cette longue route, si flous qu'ils font si mal aux yeux et ces panneaux rouges qui ne sont pas aussi nombreux que ces arbres.
Ouverture sur le monde
Cet écran, cette fenêtre où l'on voit des paroles de chansons, des déclarations, tous ces pseudos qui changent, ces photos qui défilent pendant une heure, ces statuts qui changent d'abord: "En ligne", ensuite: "Occupée" et "Au téléphone"... Et il y a ces fenêtres qui s'ouvrent toutes seules où il y a la plupart du temps écrit: "coucou, tu vas bien?"
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