Je me lève et je regarde par la fenêtre. Derrière ces grands rideaux et cette grande vitre je vois une grande surface verte bien belle que j'ai l'habitude de voir tous les matins. Je vois ce beau terrain qui est en train de se faire arroser dans les chants des petits oiseaux. Il y a tout là-bas de grands bâtiments qui entourent ce terrain, ils me font penser aux gradins d'un stade. Après quelques instants c'est autour des joueurs de voir entrer sur cette belle pelouse pour y prêter serment. Bon, il faut que j'y aille, l'heure du petit déjeuner m'appelle.
Je me souviens, je me souviens que quand j'avais l'âge de 5 ans, j'habitais dans une grande et belle maison avec des grandes fenêtres dans ma chambre pour admirer tous les matins cette belle cour. Un matin comme tous les matins je décidais de regarder par la fenêtre et là, j'aperçus plein de gens, des gens de toutes sortes, des gros, des minces, des grands et des petits. Tous étaient pressés, ils se précipitaient pour acheter les premières tomates fraîches et des beaux légumes frais. C'était le marché de la cour. Il y avait toutes sortes de fruits et légumes, il y avait aussi de la viande. Et ensuite, je les rejoins.
Je me souviens, je me souviens que quand j'avais l'âge de 5 ans, j'habitais dans une grande et belle maison avec des grandes fenêtres dans ma chambre pour admirer tous les matins cette belle cour. Un matin comme tous les matins je décidais de regarder par la fenêtre et là, j'aperçus plein de gens, des gens de toutes sortes, des gros, des minces, des grands et des petits. Tous étaient pressés, ils se précipitaient pour acheter les premières tomates fraîches et des beaux légumes frais. C'était le marché de la cour. Il y avait toutes sortes de fruits et légumes, il y avait aussi de la viande. Et ensuite, je les rejoins.
Un jour, je pris un taxi et je regardai par la fenêtre. Ce jour, il pleuvait, ce n'était pas un beau jour pour faire de l'art. J'aperçus derrière cette fenêtre la ville, la ville où je rêve d'habiter. J'aperçus des grands bâtiments qui ressemblaient à des grands arbres plantés dans la terre avec leurs nids. Je vis aussi plein de voitures et de motards qui ne cessaient de klaxonner ou de s'insulter. Je vis aussi plein de gens, c'était impossible d'admirer la ville avec ce tas de gens qui ne cessaient de courir pour n'importe quelle raison. Finalement je demandai à mon chauffeur de faire demi-tour pour rentrer chez moi.
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